L'article du guerrier du dimanche, la suite

Publié le par Lolo


Reprenons le cours de notre aventure (Super, youpi !!! J’espère que t’as pas l’intention de nous en faire des tomes…. Des tomes, des tonnes, non?  Tant pis j’le garde quand même).
 

Notre campement était situé sur les hauteur de Vertus. De la ville, qui avait tout d’hantée: ses rues désertes, ses constructions habitées par les courants d’air, il fallait emprunter de petites routes pour rejoindre le sommet de la colline. La voiture  remontait une route perdue, sans rien d’autre de part et d’autre que le néant (heureusement que je connais parce que tu finirais pas me filer le jetons).
La brume coulait au dessus du sol comme si les tentes flottaient sur une mer calme et insipide (hé ho du bateau, t’es dans l’armée de l’air pas la marine) .
Le vent tournant se levait d’un coup plaquant son étau sur le tissu des tentes, les déformant sous les coups de rafales de plus en plus féroces. Les attaches métalliques claquaient dans la nuit sombre et glacial donnant au site un aspect lugubre, inquiétant et rendant tout dialogue impossible (ça c‘est vrai on entendait même plus le bordel des groupes électro). Puis la lune transperça les nuages bas, elle braqua son projecteur d’argent sur le site et des ténèbres s’élevèrent nos mâts, un reliquat de Babel (vu comment certains penchaient j‘aurais fais une comparaison avec la tour de pise plutôt), un doigt fier pointé vers les cieux (lequel? Le majeur?). Aussi fugacement qu’il était apparu, le campement sombra dans l’obscurité alors que la lune (et c’est là qu’apparaissent les loups-garous)se repliait derrière son tamis nocturne, tel un insecte glissant à l’abri du prédateur (faut que t‘arrêtes de lire du Maxime Chattam, tu noircis tout, ça devient flippant).

BON STOP, je ne peux plus continuer cet article, essayer de se concentrer sur une histoire palpitante avec cette … « voix intérieure » qui ne cesse de m’interrompre, me faisant perdre le fil de ma narration , me devient impossible (oh l‘autre, comment il se l‘a joue facile, il en a marre d‘écrire, il lui fallait juste une excuse pour arrêter et c‘est bibi qui trinque).

(t’as même pas dis ce qui te manquait là-bas)
Ma femme et mes enfants, tout le reste c’est matériel (ok pas de vannes, on touche pas aux gosses, d’ailleurs faudrait penser à le dire aux curés).
(Quand même, un truc contraignant pendant cette mission?)
L’absence de mes amis Jacob Delafon ou Porchet, allégrement remplacé au pied levé par le couple lesbien Pelle et Pioche. Heureusement qu’il y avait de petits bosquets et pas d’acacias car comme le dit Laurent Gerra avec ses « feuilles on pourrait pas, elles sont bien trop petites et les épines ça irrite » (ben si tu commences à dire n’importe quoi toi aussi je pense qu’il est temps de dire tcho à toutes et tous)

Gardez la pêche, je file faire une séance de thérapie et à dimanche prochain.
Gardez la pêche, comme si une seule suffisait et à dimanche prochain.

Publié dans Papa

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
L
<br /> <br /> Que de délires ! tu pourrais te reconvertir dans la littérature.... en attendant les prochains épisodes de ces aventures palpitantes, profites bien de ta petite famille....<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre