L'article du dimanche
Y a des jours avec et des jours sans, y a des dimanches où c'est facile d'écrire d'autre non. Hé bien là, c'est un jour sans. Pourquoi ? Déjà, parce que je sors tout juste du travail .........Ok, c'était pas que professionnel vu que c'était la journée des partants et que c'était plutôt festif. Gros barbecue familial (et oui, l'armée et une grande famille), piscine, cadeaux, chants et danses. Bonne journée.
Mais ma "non motivation" ne vient pas de là. Il faut remonter à vendredi pour connaître l'origine de mon mal être. Laissez moi vous narrer.
D'habitude le "jour de venus" est synonyme d'allégresse et de joie, c'est enfin le week-end, le moment du partage en famille. Mais là, non !! Pourquoi ?? Que c'est-il passé ??? ..............Quel suspense insoutenable.
Ce week-end les femmes nous, je dis bien NOUS, ont abandonnés avec les enfants. Elles se sont organisées une petites soirée entre fille.............dans mafate. C'est clair que nous les mecs quand on se fait une journée entre nous c'est préférablement une sortie paintball, un resto/bar, une boite de nuit et on est content. Marcher trois heures pour finir dans un gîte froid et humide c'est pas mon truc, je leur laisse volontiers.
Pour en revenir au sujet principal, elles nous ont lâchement abandonnés avec les enfants, mais pire encore, le jour de l'anniversaire de Ludo, le pauvre. On ne pouvait pas le laisser dépérir seul dans son coin, on a du organiser un "apéro consolateur" (c'est pas mal comme expression, pas de droit d'auteur, c'est cadeau, vous pouvez l'utiliser comme excuse). Même si on avait pas soif, on a pas laissé un camarade au bord du gouffre du désespoir. Nous étions si bourrés.........d'amertume que nous avons décidé de siphonner un (plus quelques autres) glass pour chasser le bourdon qui rôdaillait. On a remis ça officiellement samedi soir pour l'anniversaire de Ludo et celui d'Olivier, allez double dose. Et donc aujourd'hui pour fêter les partants.
C'est donc ça, quelle thérapie ce blog, je ne suis pas déprimé, j'suis juste alcoolisé. Ha !!! Je suis soulagé, j'croyais couver une petite neurasthénie ou autre hypocondrie. Pour fêter ça j'vais me servir un p'tit truc à boire.
Allez gardez le goulot et à boutanche prochain.