La déprime du dimanche
Que dire à part : Bouh, snif et autres pleurnicheries.
Déjà une semaine (qui m’a parue une éternité) que j’ai repris le travail. Bien évidement, comme d’habitude, la seule chose que je puisse vous dire concernant mon emploi c’est :
Je sais, ça ne fait pas grand-chose mais que voulez-vous au même titre qu’un médecin je suis tenu au secret professionnel. C’est donc avec un (faux) grand regret que je ne vous raconterai rien.
Bien sur, le plus difficile dans ma nouvelle affectation est de ne plus pouvoir voir les enfants au quotidien.
Les jours et les semaines vont être longues loin de ces deux petits monstres. Vivement la retraite, si seulement elle existe encore, que Mr le Président de la République ne nous supprime pas nos acquis (gros doutes).
Malgré que je sois logé dans un placard à balai (et hélas je n’exagère même pas), bien que je fasse maintenant partie de l’unité de l’armée de l’air qui accuse le plus de cas de divorce et de stage en hôpital psychiatrique. Et même si plus de 120 jours par an je me retrouve en mission, en métropole ou à l’étranger, je me porte comme le chien de Mickey « pluto » bien. Et je ne parle même pas du climat polaire qui règne ici, l’hiver risque d’être méchant, on aperçoit déjà les pingouins dans les champs.
Je pratique la technique Dany Boon, « je vais bien, tout va bien…. », mais j’utilise aussi de temps en temps la technique de Bigard avec « un cri primal ». Je pense quand même survivre (un peu) à ce rythme de travail assez contraignant mais c’est pour les enfants que je me m’inquiète, j’ai comme l’impression qu’Estelle les frappe pendant mon absence mais je n’ai aucune preuve de ce que j’avance. Quoi que……
(Et comme les Pokemons, ça évolue)
Gardez la pêche (et pas dans la poire) et à dimanche prochain (probablement).
PS : L’article du dimanche risque de subir quelques défaillances lors de sa publication hebdomadaire du fait que je ne vais pas forcement rentrer tout les week-end, que je n’ai pas internet sur base et qu’à tout moment je peux partir en mission. Je demande donc votre indulgence qu’en t’a l’avenir de ce blog, merci d’avance.